Encore élève au CNSAD (Conservatoire national supérieur d’art dramatique), Stanislas Nordey découvre par hasard Bête de style, la dernière pièce de Pasolini, sans cesse remaniée, précédée d’une diatribe contre le théâtre italien d’alors. Il évoque la révélation de cette langue comme une « expérience inédite et fondatrice » (1) ; il monte le texte comme travail de fin d’année, puis une seconde fois à son entrée au TGP (Théâtre Gérard Philipe) comme artiste associé en 1991-1992. Les deux saisons suivantes, il poursuit son exploration de cette œuvre dramatiq...
Stanislas Nordey retrouve Pasolini
Article publié dans le n°1129 (01 juin 2015) de Quinzaines
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