5. Les faits
Dans le monde médiatique, dire s’appuyer sur des faits constitue l’alpha et l’oméga de la vérité. Le seul problème est que les faits ne nous sautent pas à la gorge. Ils n’accèdent à notre connaissance que par la médiation d’informations qui, tôt ou tard, passent par le langage. En conséquence, la « transformation » des pratiques en discours partagé ou partageable, ce saut périlleux que constitue la « verbalisation », ne peut se faire que par un minimum d’examen critique.
Ces évidences sont généralement occultées ou oubliées, pour des raison...
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