Il est organisé en trois parties : une première formée de deux fragments inédits de la période qu’on pourrait appeler par commodité la période Jean-Michel Michelena (il a publié sous ce nom jusqu’en 1992), Fragments d’un corps cruel (1978-1981) et Le Héros veut battre la douleur (1980-1981). La deuxième partie, Rappel à l’ordre à Ferrare, la plus composite et peut-être la plus récente (c’est difficile à affirmer quand il s’agit d’un virtuose du montage), forme interface avec la troisième, reprise donc de Défends-toi, Beauté violente ! C’est un état des...
Un poète-forgeron
Article publié dans le n°1021 (01 sept. 2010) de Quinzaines
Je ne voudrais rien qui mente, dans un livre
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