Le théâtre de l’Atelier est un lieu qu’on aime bien ; il est à échelle humaine, en bas de Montmartre, sur cette place Charles-Dullin, du nom de celui qui sut à partir de 1922 faire entendre « des textes d’abord choisis pour leur qualité littéraire et non pour leur potentiel commercial ». Aujourd’hui, il conserve quelque chose de vieillot qui le rend encore plus attachant. On se souvient des spectacles qu’on a vus, de Laurent Terzieff, de Cap au pire, et on rêverait que Sami Frey reprenne à l’Atelier Je me souviens, qu’il recommence à dérouler sur sa bicyclette ...
À voix nue
Article publié dans le n°1209 (16 févr. 2019) de Quinzaines
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