Or : « C’est s’en faire le complice que d’entourer le crime de silence. » La narratrice de ce roman se nomme effectivement Apolline de Terville et le texte s’organise en deux récits construits pour s’opposer. Leur famille est de petite noblesse provinciale sans ressources et leurs parents comptent sur la divine Providence pour subvenir à leurs besoins. Apolline est vertueuse, soumise, bonne chrétienne. Après mille tribulations, elle sera sauvée par un riche mariage d’amour. Ursule, sa sœur aînée, est impatiente, violente, amorale, prête à tout pour accéder à ce qu’elle croit êtr...
Cher XVIIIe siècle !
Article publié dans le n°1023 (01 oct. 2010) de Quinzaines
Le testament d'Olympe
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