Clap de fin

Il a écarté de sa recension les nombreux films qui traitent de monstres (King Kong, Godzilla et autres créatures imaginaires, comme les vampires ou les zombies) car il a voulu, dit-il, que « l’ouvrage reste dans un certain réalisme, une certaine crédibilité ». De cette proximité de la réalité menaçante avec la fiction résultent des émotions d’autant plus horrifiantes. Les catastrophes représentées par la fiction littéraire ou filmique nous proposent d’être projetés pour un temps dans un futur traumatique en donnant une forme d’apparition à nos craintes diffuses – quand elles ne ...