Paradoxal, car cet hommage éditorial prestigieux ne fait découvrir, somme toute, qu’un brouillon qui réunit certes des contributions prestigieuses (Benjamin Péret, Jean Paulhan, André Breton…), mais la qualité de leurs textes n’empêche pas de remarquer l’absence d’une vision commune de cet art nouvellement nommé « brut » que collectionnait Dubuffet et qu’il s’agissait précisément de promouvoir. Sa publication tardive se justifie selon Sarah Lombardi, l’actuelle directrice de la Collection de l’Art Brut, « afin de rendre accessible aux amateurs et aux chercheurs » cet ensemble, a...
Le fac-similé d’un livre impossible
Article publié dans le n°1167 (16 févr. 2017) de Quinzaines
Almanach de l'art brut
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