Il s’ouvre sur un coup de téléphone : Dara, le cosmopolite narrateur du roman, reçoit à Londres l’appel d’un vieil ami peintre, Mohammed Aflatun, surnommé Platon, qui de Karachi émet le souhait pressant que Dara écrive sa biographie. Ce dernier acquiesce à condition de mener l’entreprise à sa manière. Il se replonge donc dans ses années de jeunesse passées en Terrepatrie (c’est-à-dire au Pakistan, jamais nommé) où Platon, deux autres jeunes hommes et lui-même formaient une petite bande et part sur la trace de ses anciens compagnons ainsi que des femmes qu’ils l’ont autrefois aimées....
Dernier volet d'un Quintet sur l'islam
Article publié dans le n°1049 (16 nov. 2011) de Quinzaines
La nuit d'un papillon d'or
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