Il m’est arrivé à plusieurs reprises de citer tels ou tels fragments de l’avant-propos de Georges Bataille à son très beau roman : Le Bleu du ciel. L’un des plus importants concerne l’exigence qui, selon lui, doit présider à la création d’un récit ou d’un roman, exigence qui, de ce point de vue, les englobe indistinctement : « Mais je m’explique mal – si nous voulons savoir ce qu’un roman peut être – qu’un fondement ne soit pas d’abord aperçu et bien marqué. Le récit qui révèle les possibilités de la vie n’appelle pas forcément mais il appelle un moment de rag...
Donner à lire
Article publié dans le n°997 (01 août 2009) de Quinzaines
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)