David Lodge s’intéresse bien à ces aspects de la vie de Wells mais surtout à un autre, plus étrange, ou plus banal ?, sa mise en pratique de l’« amour libre », qui lui permit d’avoir des maîtresses régulières mais également d’innombrables « passades » (le terme français qu’il utilisait), tout en gardant auprès de lui une épouse dévouée prête à fabriquer les layettes des enfants qu’il avait engendrés avec des amantes deux fois plus jeunes que lui.
Il écrivit donc près de cent ouvrages et « connut » environ cent femmes (selon son propre compte). ...
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