« Non, oui, non », écrit Henri Michaux dans La Ralentie (1937) à la mort de sa femme brûlée vive. Non, oui, non et ça commence à tanguer, alors que je m’apprête à parler du ressac et de l’ondoiement perçus dans l’écriture de deux œuvres, un conte et un roman : Igitur de Stéphane Mallarmé et La Plâtrière de Thomas Bernhard.
Igitur ou la Folie d’Elbehnon
Adolescent je découvre le conte mallarméen, où le Héros métaphysique, sorte de Hamlet placé en face de lui-même, descend un escalier et finit sa course en glis...
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