Ariana Saenz Espinoza : Votre film s’inscrit dans un corpus cinématographique sur la Shoah tout en s’en démarquant assez radicalement. Comment vous situez-vous vis-à-vis des films existant sur le sujet ?
Ady Walter : Il y a une sorte d’interdit dans la représentation de la destruction des Juifs d’Europe. J’ai voulu raconter cette histoire parce que j’ai effectivement un problème historiographique avec le cinéma qui traite de la Shoah. Le cadre historique du film a fait l’objet d’...
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