Il faudrait un livre entier pour dialoguer avec cette Comédie de la Loi qui s’inscrit dans le courant « droit et littérature », encore peu développé en France. Contentons-nous d’une livre de chair. Je ne vais pas jouer ici au jeu des erreurs, assez nombreuses mais qui n’invalident pas foncièrement l’argumentation. L’auteur est bien informé pour l’essentiel, même s’il eût été avisé de prendre pour guide la biographie de Shoenbaum plutôt que celle d’Ackroyd, et de moins se fier aux intuitions de Girard ou Sibony. François Ost souligne le risque de projeter nos propres critères et ...
Jeux de lois
Article publié dans le n°1065 (16 juil. 2012) de Quinzaines
Shakespeare. La comédie de la Loi
(Michalon)
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