Une brève et éloquente préface, de Giani Stuparich tout de même, ouvre le volume. Elle introduisait, en 1959, deux ans après la mort de Giotti, la première édition italienne de ce texte. Puis les Notes en question, une quarantaine de pages tout au plus. Enfin, une longue postface du traducteur, Laurent Feneyrou, qui fournit tous les renseignements nécessaires agrémentés de larges citations de Giotti (des poèmes notamment) et de ses lecteurs ou commentateurs.
Au fil des pages, une figure apparaît, une présence qu’une étroite approche biographique serait impuissante à rend...
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