Les cinq textes qui le composent émanent d’un esprit libre, ou du moins bien convaincu de l’être, car tel est son héritage de soixante-huitard « à jamais vacciné contre les tentations d’embrigadement dont je continue de faire l’objet et auxquelles je reconnais avoir été tenté de céder, plus par excès de solitude que par conviction ». On a retrouvé donc ici le jeune homme coincé et malheureux des « années mortes ». Il va devoir franchir « les limites de ce monde étriqué où a été jusqu’à l’asphyxie comprimée (son) adolescence ». Ses années d’apprentissage couvrent une lon...
L'appel de l'écriture
Article publié dans le n°1024 (16 oct. 2010) de Quinzaines
La place des demoiselles
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