Cette histoire est portée par quatre voix, exprimant à quatre reprises les points de vue des protagonistes : seize monologues pour un homme et trois femmes. L’homme s’appelle Van. Il est vietnamien d’origine, mais plus qu’européanisé. C’est un lettré. Il a vécu tant bien que mal de travaux d’édition. Maintenant, Van est mort, mais il reste le meneur de jeu à qui revient le premier mot ainsi que le dernier. Lou est son épouse depuis vingt ans. Bretonne, enseignante, femme actuelle, femme pratique. Laure, leur fille, est une étudiante qui dissimule sa difficulté d’être sous un accoutrement...
La malédiction de l'exil
Article publié dans le n°1071 (01 nov. 2012) de Quinzaines
Lame de fond
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