Patrice Chéreau est mort à la veille de ses soixante-neuf ans. De ce soir du 7 jusqu’au 16 octobre, date de ses obsèques en présence du président de la République, tout a été dit, écrit, montré d’un parcours, au théâtre, à l’opéra, au cinéma, unique en France. Qu’ajouter ? Et pourtant l’hommage s’impose pour qui a pu exprimer des réserves dans cette chronique sur certaines mises en scène, mais toujours garder une admiration intacte pour un artiste exceptionnel. Peut-être suivre le conseil donné en 2009 à un journaliste : « Eh bien, vous ne faites qu’un bout… ».
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