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Lust, titre non traduit en français afin de préserver la polysémie du terme (« envie, désir, plaisir, luxure… »), n’échappe pas à cette veine ténébreuse que Jelinek a ouverte avec son entrée en littérature dans les années 1970. À sa manière, c’est-à-dire sans concession, sans le moindre souffle d’espérance, Jelinek y décrit la conjugalité. Sous la forme d’un rapport sexuel sans amour, sans tendresse, dupliqué à l’infini, tel un produit de grande consommation. Jelinek met en mots un huis clos lubrique dans une demeure bourgeoise, avec pour seul témoin l’enfant du couple, garant d...

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