La dernière proposition, nous la rejetons catégoriquement, par sa prétention à vouloir libérer le désir et le sexuel par une sorte d’exhibitionnisme exacerbé, peut-être issu de la mauvaise compréhension et de la mauvaise lecture de l’œuvre de Sade. La première nous l’écartons, pour ce qu’elle contient de religieux et de dogmatique. La vie sexuelle sans la vitalité ne peut partager du désir, et la vie, dans toute sa complexité, ne peut être soumise à un dogme, ni s’exposer complètement. Il y aura toujours une part de mystère dans l’approche du désir. Comment parler de désir en l...
L’écriture demeurée désir. À partir de Belinda Cannone
Article publié dans le n°1164 (03 janv. 2017) de Quinzaines
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