Sur un plateau, la scénographie et les costumes ne permettent pas toujours d’inscrire dans une époque déterminée une pièce du répertoire. Souvent, l’apparition d’un personnage, le portable à l’oreille, la situe d’entrée de jeu au XXIe siècle. Interrogé par Georges Banu sur l’actualisation du passé, Luc Bondy préfère « employer le mot moins impératif d’adéquation au présent ». À sa manière nuancée, caractéristique de ces dialogues intitulés La Fête de l’instant (1), « revisités » lors de sa nomination à l’Odéon-T...
Molière au présent mais sans portable
Article publié dans le n°1105 (16 mai 2014) de Quinzaines
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