Convenons-en : il est instructif de prêter l’oreille à des propos réactionnaires au sens strict, auxquels la nostalgie du passé donne un tranchant critique presque prophétique. On connaît depuis longtemps le jugement sévère que Jean Clair (pseudonyme de Gérard Régnier), conservateur général du patrimoine et commissaire d’importantes expositions (dont « Crime et châtiment » en 2010), porte sur les dérives de « l’art contemporain » : dérives esthétiques, financières et institutionnelles, qui sont les reflets, selon lui, d’une barbarie plus profonde et d’un...
Passeurs, penseurs et contempteurs
Article publié dans le n°1093 (16 nov. 2013) de Quinzaines
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