Parmi les lieux communs, il en est un solidement enraciné depuis le XIXe siècle : que l’Université permet à l’humanité et aux peuples de progresser en encourageant les pulsions créatrices de l’homme, en privilégiant donc sa part la plus sacrée, tout en visant à contenir le travail dans les limites de l’équilibre biologique ; que, plus prosaïquement, elle aide les plus démunis à affronter la vie moderne.
C’est de moins en moins vrai dans le système actuel de gouvernance : l’Université actuelle, dit Chomsky, perpétue le système inégalitaire de la société, elle a sa part ...
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