Copieux ouvrage qui rassemble cinq pièces traduites par Pierre Laville, familier du théâtre américain, le roman Une femme nommée Moïse, des extraits des Mémoires, le tout complété par une biographie et une bibliographie sélective, cette somme Tennessee Williams doit aussi beaucoup à Catherine Fruchon-Toussaint dont la préface et les introductions très bienvenues éclairent chaque scansion de l’œuvre. Il y a en ce moment une effervescence autour de Williams, deux nouvelles traductions – très nécessaires – d’Un Tramway nommé Désir, celle de Jean-Michel Déprats et ...
Sur le qui-vive
Article publié dans le n°1035 (01 avril 2011) de Quinzaines
Théâtre, roman, mémoires
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