Fils du feu, Quand Dieu boxait en amateur, des titres qui conjuguent une même alliance, une même paternité, une sorte de généalogie à la fois légendaire et prosaïque que Guy Boley glorifie dans un style qu’on ne peut qualifier de « neutre ». Le Dieu dont il est question n’est pas Dieu, mais le père du narrateur qui, tout en étant forgeron, a été champion de France amateur de boxe en poids moyens dans sa région natale de Besançon. Lui-même fils de cheminot, on lit une filiation qui remue l’épopée ouvrière. Guy Boley fait chauffer les phrases, les frappe sur l’enclume ou ...
Un coup de poing
Article publié dans le n°1200 (16 sept. 2018) de Quinzaines
Quand Dieu boxait en amateur
(Grasset)
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