Novarina procède par courtes séquences, des paragraphes ou parfois même de simples phrases, qu’il numérote ou non, toujours visant au cœur l’œuvre théâtrale, cherchant sa source vive dans une spirale du langage, des langues, du théâtre. Et qu’en est-il de cette « quatrième personne du singulier » ? L’idée n’est pas nouvelle, qu’il y a en chacun de nous – ce qui, en novarinien, s’écrit et se lit « chaque un » – quelque chose de tapi, de bien caché, de bien enfoui mais prêt à jaillir dans certaines conditions et circonstances privilégiées. Socrate évoquait son daïmon, fau...
Une spirale du langage
Article publié dans le n°1062 (01 juin 2012) de Quinzaines
La quatrième personne du singulier
(P.O.L.)
Une langue inconnue
(Zoé (mini))
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