Après une enfance difficile dans un entourage familial où sa différence lui est vite apparue, aux prises par la suite avec une culture qui, semble-t-il, lui inspira un vif désir de « se laver de son cerveau d’Europe », il définit sa vie comme « une vie d’esthète ». Mais que devient le confort d’un lecteur déconcerté ? Ce dernier ne va-t-il pas se sentir menacé d’enlisement ou de tournis ? On hésite, d’autant que ces Pensées rejettent la lecture aléatoire, si plaisante quand il s’agit de formulations plus courtes dont chacune libère son onde de choc : « Perl...
Art de vivre, art d’écrire
Article publié dans le n°1033 (01 mars 2011) de Quinzaines
Pensées simples
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