Nous avions connu, dans Dolly City [1], la maternité cauchemardesque d’une femme médecin adoptant un bébé abandonné dans un sac poubelle ; puis, avec Parcelles humaines [2],lesintempéries improbables s’abattant sur le Moyen-Orient, les vies atomisées. Nous retrouvons dans Le Roman égyptien tout cet univers, en mode mineur peut-être mais omniprésent ; le décor constant et bruyant d’une ville frénétique, une société éclatée toujours menacé...
Convergence des temps
Article publié dans le n°1163 (16 déc. 2016) de Quinzaines
Le roman égyptien
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