Peut-être est-ce la couverture blanche au double liseré rouge, toujours prometteuse, parfois trompeuse, qui m’a fait prendre ce livre sur une pile abandonnée, à moins que ce ne soit le bandeau enserrant le livre avec la photo d’une pierre ovale et poreuse. Ce morceau de granit peint d’un bleu lumineux et d’un gris vert rappelait l’océan et la roche. Je ne savais pas alors que l’auteur était aussi peintre et je ne fus pas étonné qu’il le soit.
Tout commence par les marais poitevins, le méandre des eaux parcouru sur une barge, un labyrinthe habité par les oiseaux, les loutres, un u...
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