« Touriste sentimental » ou « pittoresque » comme il se décrit, James l’est certainement puisque sa vision est celle d’une génération d’écrivains qui, avant le contact physique avec un pays, ont déjà beaucoup « voyagé », beaucoup « vu » grâce aux œuvres de leurs prédécesseurs et de leurs contemporains, grâce aux magazines de leur époque. « Touriste sentimental » ou « pittoresque », James ne le sera qu’à un moment de son existence et donc seulement dans certains textes, puisque, en s’établissant à Londres en 1876, il devient de fait u...
Henry James : éducation d'un regard et une sensibilité
Article publié dans le n°1070 (16 oct. 2012) de Quinzaines
Heures anglaises
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