Ariana Saenz Espinoza : Vous avez consacré une thèse à l’œuvre de Franz Kafka. Des années plus tard, en 2020, Kafka refait surface dans votre vie en plein confinement. Pourquoi à ce moment-là ?
Léa Veinstein : C’est un moment où la vulnérabilité du corps humain se trouvait exposée de manière déconcertante. Étrangement, cela a coïncidé avec la parution de l’édition intégrale des Journaux de Kafka dans la traduction de Robert Kahn (éditions Nous, 2020). La grande particularité d...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)