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         Cet automne, Aurélia Gaillard, spécialiste reconnue du dix-huitième siècle, membre de l’Institut universitaire de France, publie un livre qui, si l’on songe aux travaux qu’elle a menés pendant plusieurs années, est un aboutissement. Il est appelé à faire date non seulement dans le champ disciplinaire de ma collègue et amie mais plus largement dans le domaine des études d’esthétique, dans celui de la pensée et dans l’analyse de notre rapport au monde.
Aurélia Gaillard
L’Invention des couleurs par les Lumières. De Newton à Goethe

Pour un très grand nombre d’étudiants avancés, de doctorants et de chercheurs, cet ouvrage (très richement illustré, rédigé dans une langue précise et limpide, sans aucun jargon) sera à la fois source précieuse d’information et de documentation (un très utile et malin « lexique des mots de couleur du XVIIIe siècle », des notes éclairantes, une copieuse bibliographie, un index), et stimulant vecteur de réflexion et d’investigation. Par sa facture, la profondeur de son propos, ses implications et sa possible résonnance dans la manière où bien des débats actuels sont con...

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