Dans sa vie, il a mené des combats qui ont compté, pour des causes que tout autre que lui aurait jugées perdues d’avance. « Mais à bout on ne l’est jamais », écrit-t-il. C’est en s’opposant à son père, Charles Peignot, qu’il a sauvé de l’oubli les écrits de Colette Peignot, sa « mère diagonale », celle qui s’est « désignée elle-même sous le nom de Laure », avaient rappelé ses amis Georges Bataille et Michel Leiris en publiant après sa mort quelques-unes de ses notes sur Le Sacré. Il a ...
La Pratique de la poésie devant la mort
Article publié dans le n°1127 (01 mai 2015) de Quinzaines
Les cent sonnets de Ker Borny
(Editions des Cendres)
Le gai savoir de la mort
(Editions des Cendres)
Sonnets. Deux quatrains, deux tercets. Et à Paris deux rives
(L'Amandier)
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