La disparition prématurée d'Olivier Greif (1950-2000) n’a pas été seulement une perte considérable pour moi, son ami et son frère en musique, ou pour tous ceux qui ont eu la chance de l’approcher, mais pour la musique d'aujourd'hui.
Comme l'a admirablement écrit Brigitte François-Sappey, la musique d'Olivier Greif « en appelle à une forme d'art total, non pas totalité des arts, mais bien totalité de l'homme : de ses joies et peines, espoirs et désillusions. [...] Semblable position humaniste et spiritualiste interdit, on s'en doute, de trier l'inspiration iné...
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