Idéalement, l’épigraphe d’un livre transcrit le ton et l’esprit du texte auquel elle prélude. Voici celle qu’a choisie Igor Sakhnovski pour son troisième roman : «“Dieu ne répond que du miracle.“ Extrait d’une conversation téléphonique ». Elle remplit parfaitement son rôle. En effet, dans ce livre, le divin se mêle en permanence au quotidien, au point que l’un et l’autre se fondent pour constituer la trame dans laquelle vont se mouvoir les personnages, des femmes qui, malgré les époques et les lieux géographiques variés qui leur servent de décor, ont en commun un désir...
Les anges aussi s’angoissent
Article publié dans le n°1132 (16 juil. 2015) de Quinzaines
La Conjuration des anges
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