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Retour sur l'exposition Breton de Cahors

Les 24 et 25 juin 1950, André Breton participe aux « Journées mondiales de la mondialisation » à Cahors. Il n’oubliera pas cette nuit d’été où il découvre, surplombant le Lot, le petit village médiéval de Saint-Cirq-Lapopie. Il fait immédiatement part à Jean Paulhan – autre « mondialiste » – de la merveille de pouvoir « regarder au-delà de ces temps qu’on nous fait ». Et c’est à Cahors, au musée Henri-Martin, que vient de se tenir l’exposition « La maison de verre : André Breton initiateur découvreur ».

La « Route de l’espoir » a conduit Breton jusqu’au « château étoilé » qu’il évoquait dans L’Amour fou, cette ancienne auberge de mariniers surmontée d’une tour donnant sur le Lot. Jusqu’à sa mort, en septembre 1966, il ne manquera pas d’y passer la plus grande partie des mois d’été, sans jamais se lasser de « l’enchantement des pierres, des fleurs, des oiseaux ».


La dispersion de la collection d’André Breton en vente publique en 2003 a été longtemps combattue, puis regrettée. La « reconstitution » à Beaubourg la même année...

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