La « Route de l’espoir » a conduit Breton jusqu’au « château étoilé » qu’il évoquait dans L’Amour fou, cette ancienne auberge de mariniers surmontée d’une tour donnant sur le Lot. Jusqu’à sa mort, en septembre 1966, il ne manquera pas d’y passer la plus grande partie des mois d’été, sans jamais se lasser de « l’enchantement des pierres, des fleurs, des oiseaux ».
La dispersion de la collection d’André Breton en vente publique en 2003 a été longtemps combattue, puis regrettée. La « reconstitution » à Beaubourg la même année...
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