Il y a des jours où, à part se saouler ou envoyer paître la terre entière (qui le mérite sûrement), voire les deux, on se demande quoi faire de soi. Puisqu’on aime quand même moins les beuveries que fut un temps, qu’on préfère désormais éviter les conséquences pas toujours exaltantes des libations débridées, que cela, pour tout dire, ne nous amuse plus qu’à fréquence réduite, mieux vaut, ces jours-là, revenir – par exemple – à ses premières amours littéraires.
« J’ai traversé furtivement dans la jeunesse – vers 1915 – des moments d’impatience rageuse devant la structure génér...
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