Qui se soucie encore d’Émile Coué ? Qui répète scrupuleusement chaque matin sa fameuse formule : « Tous les jours, à tous points de vue, je vais de mieux en mieux » ? Personne, peut-être, même si, à lire le deuxième roman d’Étienne Kern, Coué ne cesse de hanter notre époque, fût-ce de façon larvée : « Émile, il est malin, toujours là, comme une ombre, c’est un fantôme, il s’est trouvé de nouveaux noms, un peu coaching, un peu médecines douces, un peu pensée positive, Émile est mort, vive Émile ! »
Après Franz Reichelt dans son premie...
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