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Une anthropologie des situations

Dans la thèse en anthropologie dont son livre est issu, Adèle Blazquez étudie un village mexicain réputé internationalement pour sa violence. Elle expose tout d’abord la construction de cette réputation, par les médias mais pas seulement, et refuse d’en rester à ce niveau de généralité et d’extériorité. Elle veut connaître de l’intérieur.
Adèle Blazquez
L’aube s’est levée sur un mort. Violence armée et culture du pavot au Mexique
(CNRS)

Adèle Blazquez s’installe donc dans le village et raconte son apprentissage de manières de dire et de faire locales dont l’enjeu n’est pas anodin : essayer de rester en vie. Elle est même comme initiée à l’enquête par les personnes qu’elle fréquente, en particulier ses voisins, dont le pittoresque Teófilo, à la fois ami et protecteur, qui, comme les autres habitants, se livre à une enquête quotidienne, en quête d’indices. Adèle Blazquez s’insère alors dans ces pratiques d’enquête locales, en fréquentant en particulier les épiceries où se déploient ces stratégies de recherche...

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