Voilà, la rentrée littéraire est passée. C’est le problème, avec les rentrées : comme beaucoup de choses, elles passent. Je pourrais vous dire que la foire annuelle aux romanciers (certains, contemporains ou non, m’ont réjoui, intéressé, impressionné ; d’autres, horripilé, secoué, amusé, surpris ou consterné ; cependant, j’ai du respect pour la plupart car écrire implique à mes yeux un certain courage, en tout cas plus que pour ricaner dans la fosse) me fatigue, mais ce n’est même pas le cas. Si les ficelles mercatiques peuvent lasser, je conçois que l’industrie du livre ait besoin de ce...
Une découverte : un certain Victor H.
Article publié dans le n°1180 (01 oct. 2017) de Quinzaines
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