L’auteur n’a donc utilisé aucun des très nombreux documents publiés sur Beria depuis plus de vingt ans d’ouverture des archives : des débats du Comité central de juillet 1953, au lendemain de son arrestation, aux documents de l’instruction de son procès et de son procès lui-même, ouverts aux chercheurs et largement publiés en Russie, en passant par les documents d’archives sur la déportation des peuples dits « traîtres » organisée par Beria en 1941 puis en 1943-1944, ou les notes et textes secrets de ses propositions et décisions après la mort de Staline. Il n’a même pas ...
Une mauvaise plaisanterie
Article publié dans le n°1084 (16 mai 2013) de Quinzaines
Beria. Chef de la police secrète stalinienne
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)