Le premier à avoir subi ce sort est l’instituteur Fernand Loriot, dont Julien Chuzeville retrace ce que l’on ne saurait appeler « la carrière » ; Loriot est en effet l’exemple même du militant syndicaliste, socialiste puis communiste, à qui l’idée de carrière est totalement étrangère, et à qui même elle paraîtrait incongrue, voire déshonorante. Ainsi on n’imagine pas un instant Loriot se pavanant, l’air important, dans un cabinet ministériel. Les temps ont bien changé !
Julien Chuzeville publie la première biographie de cet oublié de l’histoire, qui fut le premier ...
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