Certes, il peine à respirer l’air ambiant. Son œuvre serait-elle, comme d’aucuns le prétendent, d’un accès difficile ? Complexe, il l’admet, difficile, non. Mais il y a là un signe des temps : « Publications sans écho aujourd’hui, tombent dans le vide, comme se sont raréfiés les lecteurs, infiniment moins nombreux que dans les années 1980. Le fait marquant, depuis un quart de siècle, aura été la déperdition de la lecture. » La formule adoptée est protéiforme : « Cette forme brève du journal quotidien, ce qu’il faut y dire, ce qu’il faut y glisse...
Une vie en écriture
Article publié dans le n°1053 (16 janv. 2012) de Quinzaines
Simulacre (2000-2009…)
(P.O.L.)
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