Sur le même sujet

Voir pour entendre

Rencontrer l’œuvre de Pina Bausch à travers la puissante chorégraphie du Sacre du printemps à l'Opéra de Paris fut un choc. Beauté, violence et terreur s’y imbriquent avec force. N’est-ce pas l’histoire de l’humanité qui est représentée là, en condensé ? L’engagement radical des danseurs entre désir et peur, des robes sobres pour des corps mis à nu, pieds dans la terre, mus par l’intense partition de Stravinsky, le tragique choix de l’élue ; tout concourt à ciseler une question fondamentale adressée au spectateur. Pas moyen de s’y dérober ! Hervé Guibert disait à propo...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi