Depuis longtemps, Paula avait sous la main des comprimés de somnifère destinés à « corriger la fortune » (en français dans le texte), et qui représentaient pour elle « ce que Dieu représente pour quelqu’un qui a la foi », un réconfort, un refuge, un recours, un remède à la vie. Trouver au sein de la famille et dans les structures proposées par la société les moyens d’apprendre et de se perfectionner, voilà qui devrait aller de soi… Mais Paula découvre qu’il y a un prix à payer pour réussir sa vie sans pour autant sacrifier la peinture : s’affranchir de l’autorité pate...
Chronique d'un échec programmé
Article publié dans le n°1019 (16 juil. 2010) de Quinzaines
Paula T. une femme allemande (Frau Paula Trousseau)
(Métailié)
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)