Le Silence de Perlmann a pour cadre un monde que l’auteur connaît bien, celui des enseignants-chercheurs. Un éminent linguiste connu et apprécié par ses pairs, Philipp Perlmann, est chargé de diriger un colloque organisé dans des conditions de rêve (un bel hôtel près de Rapallo), avec le soutien financier de l’entreprise Olivetti. Or, lui qui s’intéressait tellement aux langues se sent tout à coup incapable d’assumer la tâche qui lui a été confiée, incapable de rédiger la contribution que tous attendent de lui avec impatience, incapable d’aligner deux idées cohérentes, submergé ...
Une personnalité défaite
Article publié dans le n°1094 (01 déc. 2013) de Quinzaines
Le silence de Perlmann
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