Promis à une carrière d’écrivain, de journaliste ou d’homme de médias en Occident, Galsan Tschinag choisit d’abord de retourner en Mongolie où il enseigna l’allemand à l’université d’Oulan-Bator. Ses démêlés avec le régime communiste le privèrent de son poste en 1976. Mais c’est en 1995, alors qu’au terme de diverses péripéties tout lui réussissait à nouveau, qu’il décida de changer de vie afin de réaliser l’œuvre pour laquelle il se sentait (pré)destiné : ramener le peuple touva dispersé par les avatars historiques vers sa terre d’origine, les monts de l’Altaï, et reprendre la ...
"Je suis aujourd'hui un citoyen du monde, un fils de l'univers"
Article publié dans le n°1060 (01 mai 2012) de Quinzaines
Chaman
(Métailié)
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