Il approfondit le fonctionnement des mémoires officielle et familiale, car au-delà d’une mémoire transmise et entretenue par les textes, les rites ou les monuments, la mémoire « communicative » (dont la mémoire familiale fait partie) est interactive, et implique la présence simultanée de porteurs et de communicateurs, soit trois ou quatre générations. C’est « une mémoire vivante dont les critères de vérité sont focalisés sur la loyauté collective au groupe et sur l’identité collective ». Il n’est pas anodin que cette étude se fasse en Allemagne, car si les mécanismes de transmission...
L'album et l'encyclopédie
Article publié dans le n°1087 (01 juil. 2013) de Quinzaines
Grand-père n'était pas un nazi. National-socialisme et Shoah dans la mémoire familiale
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