C’est un bien singulier ouvrage qui vient de paraître au Bruit du temps. Un texte aux fausses allures de traité philosophique donnant aussi bien accès au bonheur de la vie poétique qu’à « la densité de l’énigme » inhérente à l’écriture. S’ouvrant sur une très belle lettre de Paul Celan à Hans Bender qui donne le ton du texte à venir, cet opuscule revient sur quelques rencontres et donne à voir les coulisses de la traduction, qui est aussi affaire d’amitié.
Campé entre Grignan et Truinas – une montagne, seulement, les sépare –, à portée de regar...
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