Autodafé est dominé par l’esprit de dérision propre à Tabori. Dès le titre, le lecteur sait qu’il n’échappera pas à l’humour noir de l’auteur. Le texte comprend cinq parties. Il ne s’agit pas de retracer son existence, même si Tabori commence par sa naissance, mais plutôt d’organiser des chapitres autour de figures importantes. Le frère de Tabori est central dans la partie intitulée « Poésie et mensonge », sa mère occupe une place essentielle dans « L’étoile jaune ». « Moustaches à la fenêtre » est consacré au séjour du jeune Tabori à Berlin, en pro...
Du rire aux larmes
Article publié dans le n°1092 (01 nov. 2013) de Quinzaines
Autodafé
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