La Belle Image se présente comme la correspondance entre deux hommes, l’un en prison et l’autre à l’extérieur. La « rencontre » a lieu lorsque le détenu contacte un professeur pour faire une thèse, projet qui semble d’abord insensé au professeur. Le point de départ est donc bel et bien là. Mais c’est plus compliqué qu’il n’y paraît. La chronologie est inversée, le prisonnier est libéré dès le début du récit, du moins sur le papier. Cette sortie est peut-être une seconde naissance, mais elle s’effectue au forceps, pour s’extirper d’un « ventre immonde ». Il s’agit alors de penser...
"Qui me regarde ?"
Article publié dans le n°1091 (16 sept. 2013) de Quinzaines
La belle image
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